L’œuvre poétique de Jean Alexandre s’enrichit d’une nouvelle publication. Il publie en effet aux Éditions Lambert-Lucas de Limoges un nouvel ouvrage de poésie, Le peut-être et l’après. C’est un ouvrage de 128 pages, 15 €.
Jean Alexandre est pasteur de l’Eglise luthérienne. Il est bibliste, poète, journaliste et conteur. Il a beaucoup publié dans le domaine de la poésie, de la théologie biblique ou encore comme essayiste. On peut consulter sur son blog la page qui recense ses publications : http://pagesperso-orange.fr/alexandre2/publications.htm
Réforme avait publié en septembre 2018 un portrait de Jean Alexandre, L’enfant du Petit Charonne. Vous pourrez lire ce portrait en suivant ce lien : Reforme-3770_Jean Alexandre
Ceux qui souhaitent suivre le travail et la réflexion de Jean Alexandre peuvent se rendre sur son blog : http://alexandre2.pagesperso-orange.fr/Index
Voici ce que Jean écrit en quatrième de couverture de son Le peut-être et l’après :
Ces poèmes ont tous été écrits de l’été 2017 à l’été 2019, en un temps où apparaissaient conjointement des tremblements de terre, des ouragans et des inondations catastrophiques où sévissaient aussi des conflits sanglants, des attentats meurtriers, des déplacements massifs de populations, des menaces nucléaires… Autant dire la routine.
On a vu là les signes irréfutables d’une action destructrice liée à la violence propre à l’espèce humaine. Violence sur elle-même et sur le Monde.
On a vu là aussi l’occasion d’un appel au Dieu tout-puissant et à sa providence, mais est-ce bien ce qu’il faut en attendre ?
Pour autant, le dernier mot n’est pas toujours celui du malheur. Lorsque tout ce qui était promet de ne plus être, faisant place au chaos, il en est sur Terre qui déjà recommencent, par-delà les décombres à venir, et donnent leur chance aux promesses du futur, sachant qu’ils ont alors à faire….
Jours du peut-être
Les humains d’il y a longtemps cherchaient le feu.
Peut-être vont-ils bientôt partir
en quête de l’eau…
Mais peut-être
évitera-t-on cela grâce à un beau mariage,
si la fiancée, la Terre, peut encore être séduite…
Peut-être aussi faut-il faire fond sur l’amour,
quand les amants, sans rien lâcher,
font de lui un combat.
Leave a Comment