Jean Alexandre :
Michel et moi étions amis, nous échangions souvent au téléphone ou par lettre (il se tenait à l’écart de l’informatique !), Nous échangions nos derniers poèmes, car Michel était poète. On peut le lire dans le volume édité par Jacqueline Assaël chez Olivétan, « Fêter le dire ». Je pense qu’il aurait aimé que l’on se souvienne aussi de cela, pensant à lui.
Josaphat Paluku :
Je suis ravagé par l’annonce de la mort de Michel. Il était pour moi, un frère, un père, un pasteur et un président ! Je me rappelle avec bonheur ce jour ou il est venu m’accueillir à l’aéroport pour m’emmener à Mantes-la Jolie, il m’a payé le resto et il m’a installé dans ma paroisse. Et lors de mon divorce comment il m’a accompagné et chercher pour moi une paroisse appropriée pour ma situation d’un père seul avec 4 enfants, il m’a recommandé à Michel Bertrand ! Qu’il se repose en paix de tout son oeuvre.
Olivier Pigeaud :
Oui, c’est une grande peine !
J’avais eu, il y a trois semaines, chez lui, un long échange théologique et amical. Fatigué, il avait l’esprit toujours aussi vif et l’accueil chaleureux. Il se savait à la dernière étape de sa vie terrestre et se disait reconnaissant. L’expression qui me vient en pensant à lui est la suivante : l’intelligence de la foi.
Leave a Comment